Ruptures scientifiques et innovation

Depuis plus de 20 ans, une seule définition de la rugosité due à la bio-colonisation est utilisée pour les espèces rigides. Or les mesures in situ réalisées par Nantes Université montrent une forte hétérogénéité en taille et en densité des individus en surface. Des études préliminaires menées avec Total et Ifremer ont montrés une augmentation de 20% des efforts hydrodynamiques due à des microrugosités. L’innovation consiste en la redéfinition de la rugosité permettant une mise en relation plus facile avec les mesures in-situ notamment le dispositif Aksi-3D développé par Nantes Université et MAREI (Irlande).

 

Impact technique et économique attendu

  • Améliorer la modélisation des coefficients d’interaction fluide structures pour l’ingénierie, en présence de bio-colonisation.
  • Pour réduire les coûts de conception / maintenance des systèmes EMR.
  • En améliorant la définition de la rugosité occasionnée par des organismes marins rigides.

 

Démonstrateur

Deux moyens d’essais ont été utilisés pour caractériser la biocolonisation : les deux sites en mer SEMREV (Ecole Centrale de Nantes) et UN@SEA avec la station de mesure Biocolmar (Université de Nantes). Les mesures ont été réalisés avec le protocole Aksi3D de l’Université de Nantes. Les bassins d’essais de l’IFREMER ont été utilisés pour la caractérisation des effets hydrodynamiques.

 

Ce projet sera présenté lors d’un webinaire le jeudi 06 avril 2023.

 

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LES VIDÉOS DES WEBINAIRES PASSÉS :