FOWT est le plus grand événement mondial sur l’éolien flottant. La dernière édition s’est déroulée à Montpellier du 24 au 26 avril 2019.
WEAMEC y a participé, ainsi que plusieurs de ses partenaires, et plusieurs projets de recherche WEAMEC, portés par Centrale Nantes et l’Université de Nantes ont été présentés pendant la conférence.
Les conférences
- Franck Schoefs de l’Université de Nantes est intervenu dans la conférence ‘Mooring/Umbilical design and Installation & Maintenance’, plus précisément sur le thème ‘Assessing and modeling the thickness and roughness of marine growth for load computation on mooring lines’
- Lors de la conférence ‘Global performance assessment with both numerical and experimental tools’, Jean-Christophe Gilloteaux de Centrale Nantes est intervenu sur le thème ‘Coupled simulations of Floating Wind Turbines: impact of unsteady aerodynamicson the seakeeping’ et Sandrine Aubrun de Centrale Nantes également sur ‘Research investigations on multiphysic and multiscale key topics for floating wind turbine behavior’.
Les Projets WEAMEC abordés
Lors des ces interventions, plusieurs projets de recherche de WEAMEC ont étés présentés :
- FLOATEOLE : Ce projet porté par Centrale Nantes et son laboratoire, le LHEEA, s’inscrit dans la volonté de contribuer, à travers une approche multidisciplinaire, à l’optimisation du fonctionnement des éoliennes flottantes par une meilleure compréhension des conséquences du couplage houle/vent/structure sur la performance et la durabilité des aérogénérateurs soumis à des conditions de fonctionnement particulièrement hostiles et non déterministes. Il a démarré en novembre 2017.
- HeLoFOW : ce projet de recherche international en collaboration avec le NTNU Norvégien vise à développer un solveur hydro-élastique pour le calcul des charges structurelles des fondations d’éoliennes flottantes. Il comporte une phase d’essais en bassins programmés pour l’année 2020. Ce projet est également porté par Centrale Nantes et le LHEEA.
- LEHERO-MG : les bio-salissures marines peuvent avoir de nombreux effets nocifs sur les structures offshore et représentent donc un défi pour les ingénieurs dans les phases de conception et de maintenance. Le volet innovant de ce projet consiste en la redéfinition de la rugosité de la bio-colonisation des structures élancées comme les câbles électriques dynamiques et d’ancrages, permettant une meilleure corrélation aux grandeurs hydrodynamiques et donc aux chargements de ces structures par l’intermédiaire de l’approche de MORISON.
D’autres partenaires du WEAMEC ont également participé aux tables rondes comme AKROCEAN, Atlantique Offshore Energy, BESSE, l’ENSM, IDEOL, …